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Études d'impacts

Les études d'impact

Des mesures spécifiques peuvent être réalisées pour répondre à des problématiques locales. Ces études permettent de mesurer ou d’estimer l’impact environnemental de certaines activités, qu’elles soient industrielles, agricoles, résultant de travaux. Ces études peuvent également être menées dans le cadre de scénarisations telles que l’impact de limitations de vitesses ou de modification de plans urbains de mobilité.

Pourquoi réaliser un suivi de la qualité de l’air ?

Les études menées par Atmo BFC ont chacune des objectifs différents. Certaines permettent de dresser un diagnostic territorial de la qualité de l’air pour connaitre précisément les enjeux et les leviers d’action du territoire. D’autres évaluent les impacts environnementaux de certaines activités émettrices de pollution.

Comment se déroule une étude ?

Selon le lieu et l’objectif de l’étude d’impact mise en place, plusieurs dispositifs peuvent être utilisés. Les stations fixes sont privilégiées lorsqu’elles sont à proximité de la zone à étudier, en leur absence, des stations mobiles peuvent être déployées. Plus petites et maniables, elles peuvent embarquer l’ensemble des appareils de mesure présents dans les stations fixes. Aussi, les études d’impact peuvent être réalisées à partir de capteurs portatifs, ces derniers peuvent être installés à plusieurs endroits mais leurs mesures restent limitées à certains polluants. Pour des mesures de polluants plus spécifiques, où l’accès à un branchement électrique est inexistant, Atmo BFC utilise des dispositifs passifs.

La durée des mesures dépend directement des techniques utilisées et des ojectifs de suivi. La phase d'échantillonnage peut être réalisée une seule fois, périodiquement sur l'année ou en continu.

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Pour assurer la surveillance de la qualité de l’air en Bourgogne-Franche-Comté, Atmo BFC gère un parc d’une trentaine de stations de mesure. Elles sont implantées dans des zones spécifiques et mesurent 24 heures sur 24 les concentrations des principaux polluants atmosphériques. Ce réseau assure une large partie de la surveillance réglementaire. Il est complété de stations mobiles qui permettent de réaliser des mesures ponctuelles partout où cela est nécessaire

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Les modélisations de la qualité de l’air ont deux principaux avantages. Issues de modèles performants, elles permettent d’estimer les niveaux de pollution en tout point du territoire régional. Certaines zones, notamment urbaines, sont couvertes avec une très fine échelle. La qualité de l’air est alors calculée rue par rue. La modélisation permet également d’anticiper tout phénomène d’accumulation et de prévoir la survenue d’épisodes de pollution.

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L’inventaire des émissions de polluants atmosphériques et de gaz à effet de serre consiste à recenser et à quantifier l’ensemble des sources de pollutions atmosphériques pour tous les secteurs d’activité (industrie, agriculture, transport…). C’est un outil indispensable pour modéliser la qualité de l’air mais également pour connaître son territoire et agir en ciblant les actions efficaces pour limiter la pollution atmosphérique.

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